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Le droit au logement

Le droit au logement
le droit au logement

Ce que dit la Convention internationale sur les Droits des personnes handicapées

Les personnes handicapées ont les mêmes droits de :

  • Posséder ou donner des biens.
  • Contrôler leur propre argent.
  • Emprunter de l’argent.
  • Garder leur argent ou leur maison.

Les pays doivent aider les personnes handicapées à gérer leurs biens.

Les pays doivent s’assurer que les personnes handicapées peuvent demander et donner de l’information et exprimer ce qu’elles veulent.

Pour ça, les pays doivent :

  • Donner l’information de façon compréhensible pour les personnes handicapées, en Facile à lire par exemple.
  • Encourager les médias à être accessibles aux personnes handicapées.

Les pays doivent s’assurer que les personnes handicapées peuvent faire leurs choix par rapport à la façon dont ils vivent et la façon dont ils participent à la vie de la société. Les personnes handicapées peuvent choisir:

  • Où elles vivent.
  • Avec qui elles vivent.
  • Les services d’aide spécialisés dont elles ont besoin y compris l’assistance personnelle.
  • Les services habituels et recevoir un bon service.

Dans la vie de tous les jours comment ça se passe ?

« Depuis début 2018 j’avais envie de prendre mon propre logement, j’en ai parlé à maman, ca mis longtemps à se mettre en place.

J’ai mon propre appartement et je suis heureux comme tout. Je me débrouille tout seul pour faire à manger.

J’ai ma petite TV, mon portable, mes CD, ma radio.

Il faut prendre un appartement proche pour faire les courses. Je viens, au SAVS, tout seul en bus.

Ca fait 3 semaines que j’y dors seul. »

Clément

« J’habite à XX. J’ai un appartement toute seule, je m’occupe de mon chat.

Je fais à manger de tout grâce au SAVS je sais cuisiner les légumes.

Je travaille en bénévolat dans une maison de quartier sur « St XXX » je propose des activités manuels des sorties le cinéma … aux enfants.

Je suis animatrice. J’aimerai passer mon BAFA, j’ai essayé de le passer 2 fois déjà.

Ils disent que je peux pas m’occuper de la sécurité enfant.

J’aimerai passer le BAFA encore. »

Clélia